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Notion de typage

On entend par «typage», l'association d'un type à un objet (souvent une variable), d'un ensemble de valeurs supportées (ou possible) ou d'une liste d'opérations applicable sur ces valeurs. L'idée dernière cette notion, s'est qu'il faut intégré une forme de conformité afin que le langage de programmation est la possibilité de vérifier que les valeurs fournies ont le même sens pour tous (qu'ils sont compatibles avec l'opération) et que l'opération ne rentre pas en contradiction avec la réaction doit avoir ce type d'opération. Par exemple, si vous faites 1 + 1, vous vous attendez à avoir 2 comme réponse et non pas 10 ! Ainsi, le typage doit être pareil pour tous !

Différence de typage

Les langages de programmation n'ayant pas de type, aussi appelé non-typé, désigne essentiellement les langages machine, soit un ensemble de valeurs de type entières correspondant à un ensemble d'instructions de machine précise. Le langage machine est soit utilisé directement sur les puces électroniques (par les manufacturiers) ou les machines virtuelles. Ainsi, dans le domaine de l'éducation, scientifique, du gouvernement ou du commerce, ils ne sont pas utilisés.

De leur côté, les langages de programmation assembleurs, toujours directement associés avec les caractéristiques physiques du microprocesseur ou du jeu d'instructions d'une machine virtuel, offrent la possibilité d'associer des mnémoniques aux différentes opérations pouvant être effectuées. A ce niveau, nous avons encore un typage très faible, puisqu'il est par exemple possible de déclarer des constantes de nombre entier dans différentes bases, des constantes de caractère, des constantes de chaine de caractères et des constantes de nombre réel. Il n'existe pourtant aucun contrôle lorsqu'on parle de la correspondance entre le type de la constante et l'opération à effectuer. Par exemple, le caractère «A» pourrait être perçu aussi bien comme le chiffre 65, que comme la valeur booléenne vraie.

Pour les langages de programmation détachée de la machine, il y a trois lignes de pensées, le typage est fort, le typage moyen ou le typage faible. Le typage fort est fortement incrusté dans les langages de programmation comme le Pascal, le C, le C# et le Java par exemple. Le typage moyen est présent dans des langages de programmation comme BASIC et Fortran. Le typage faible est présent dans des langages de programmation comme LISP, PROLOG, PHP, Perl. Durant la période des années 1965 à 1995, la tendance s'alignait vers le typage fort, comme par avec l'Algol (1968), Pascal (1971), Modula-2 (1980) et l'Ada (1980), Java (1995), mais après cette période et l'arrivée de l'INTERNET, l'intérêt pour les typages faibles et les typages moyens est revenu à la hausse. La raison pour laquelle le typage fort était préconisé résidait dans le fait qu'il était presque toujours compilé et qu'ainsi il était possible de déceler de nombreuses erreurs avant l'exécution du programme. De plus, à l'occasion, il permet de déceler des incohérences.

Contrôle de typage

Le contrôle de typage se fait selon deux approches principales : l'équivalence de nom et l'équivalence de structure. L'équivalence de nom considère qu'il faut que l'identificateur de type soit le même pour être considéré comme compatible. L'équivalence de structure considère que deux variables sont compatible lorsqu'on peut remplacé tout identificateur de type déclaré par l'utilisateur par la déclaration de type a lequel il correspond.



Dernière mise à jour : Samedi, le 8 avril 2017